Afghanistan
Il y a tellement de choses a decrire sur mes premiers jours en Afghanistan.
La premiere chose est evidente: Les paysages. La route entre Ishkashim et Feizabad est simplement impressionnante. Il y a simplement deux montagnes, l'une a gauche d'un fort cours d'eau, l'une a droite. Les deux plongent litteralement dans la riviere depuis plus d'une centaine de metres d'alitude. Entre elle, il n'y a pas la place pour une route, c'est la raison pour laquelle il a fallu la creuser a l'explosif. A chaque passage d'une de ces gorges, on se demande ou passent les roues de notre Toyota Hiace. On hesite entre fermer les yeux ou prier. Prier: C'est ce que font tous les passagers a chaque fois que la camionnette s'arrete et repart. Le voyage prend plus de 9 heures, avec une pause pour manger et dormir a Baharak.
Les Chaikhanas la-bas font aussi office de dortoir. Tu arrives le soir, apres des heures de routes en tres mauvais etat, dans un de ces cafes ou tu as le choix entre les Kebabs et le Pulao (plov en Ouzbekistan, plat a base de riz, de carottes et de viande.). Puis, lorsque tu as fini, les nappes qui recouvrent les sols sureleves sur lesquels tu as manges sont remplaces par des couvertures et tu dors. Enfin, si tu le peux. Car il y a pratiquement toujours une TV satellite qui hurle une musique soit indienne soit iranienne. Comme ces hommes n'ont jamais vu de femmes sans burqa (je vais y revenir), ils sont hypnotises par ces femmes dansant langoureusement... A Baharak, j'ai eu de la chance, une coupure de courant a sauve mon sommeil a 22h00... Hier, a kundunz, j
'ai eu moins de chance... Et a 4 heures du matin, tu te fais reveiller par le tenancier du lieu: il ne fait pas encore jour et tout le monde se leve, comme si de rien etait, et reprend la route pour quelques heures encore...
Encore un post pour eviter de me repeter...
La premiere chose est evidente: Les paysages. La route entre Ishkashim et Feizabad est simplement impressionnante. Il y a simplement deux montagnes, l'une a gauche d'un fort cours d'eau, l'une a droite. Les deux plongent litteralement dans la riviere depuis plus d'une centaine de metres d'alitude. Entre elle, il n'y a pas la place pour une route, c'est la raison pour laquelle il a fallu la creuser a l'explosif. A chaque passage d'une de ces gorges, on se demande ou passent les roues de notre Toyota Hiace. On hesite entre fermer les yeux ou prier. Prier: C'est ce que font tous les passagers a chaque fois que la camionnette s'arrete et repart. Le voyage prend plus de 9 heures, avec une pause pour manger et dormir a Baharak.
Les Chaikhanas la-bas font aussi office de dortoir. Tu arrives le soir, apres des heures de routes en tres mauvais etat, dans un de ces cafes ou tu as le choix entre les Kebabs et le Pulao (plov en Ouzbekistan, plat a base de riz, de carottes et de viande.). Puis, lorsque tu as fini, les nappes qui recouvrent les sols sureleves sur lesquels tu as manges sont remplaces par des couvertures et tu dors. Enfin, si tu le peux. Car il y a pratiquement toujours une TV satellite qui hurle une musique soit indienne soit iranienne. Comme ces hommes n'ont jamais vu de femmes sans burqa (je vais y revenir), ils sont hypnotises par ces femmes dansant langoureusement... A Baharak, j'ai eu de la chance, une coupure de courant a sauve mon sommeil a 22h00... Hier, a kundunz, j
'ai eu moins de chance... Et a 4 heures du matin, tu te fais reveiller par le tenancier du lieu: il ne fait pas encore jour et tout le monde se leve, comme si de rien etait, et reprend la route pour quelques heures encore...
Encore un post pour eviter de me repeter...
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